Nous apprenions hier à travers nos confrères de Guinée7.com, que le gouvernement guinéen suite aux « signalements d’exactions », pouvant être qualifiées de « crime contre l’humanité » dont il est accusé auprès de la CPI, a réagi à travers sa représentation diplomatique basée à Bruxelles. L’État guinéen aurait fait part, à plusieurs institutions notamment l’UE et le Bureau du procureur de la CPI via le chef de l’Unité des informations et des éléments de preuve, de certains « agissements » du FNDC et de l’opposition politique. Des vidéos, éléments sonores appuyés par d’autres documents seraient déjà transmis.

Cette réaction intervient quelques jours après la mise en cause auprès de la même institution, du pouvoir de Conakry, instigateur selon le FNDC, de violations flagrantes des droits humains dont des « tueries et privations de libertés ».

Dans un communiqué officiel parvenu à peine à notre rédaction, les avocats français du Front National pour la Défense de la Constitution n’ont pas tardé à ruer cette démarche de l’état guinéen, qu’ils qualifient de « vaine tentative de criminalisation du FNDC ».

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